
‘ai beaucoup écouté la radio en travaillant et parfois l’esprit vagabonde,
le stylo aussi et, comme à l’école lorsque le prof parle, on accroche quelques mots au passage,
des trognes apparaissent,
le plaisir du dessin est guidé par les ondes radiophoniques.
L’actualité devient un brouhaha abstrait, une matière pleine de mots qu’on entend vingt fois par jour et qui finissent par ne plus rien dire… L’orthographe et la grammaire n’ont d’ailleurs plus aucune importance dans ce territoire ! »
Propos recueillis par Marion Quillard